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Manioc : La FAO préconise une production intensive

Face à la croissance de la demande et des nombreuses opportunités économiques qu’offre le manioc, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture encourage sa production intensive suivant l’Approche « Produire plus avec moins ». C’est à travers le guide pour l’intensification durable de la production.

Le manioc, encore appelé « aliment des pauvres » fait partie des principales cultures vivrières en Afrique subsaharienne. Comestible des racines jusqu’aux feuilles, ce tubercule sert d’alimentation de base à plus de 800 millions de personnes et compte plus un demi-milliard de planteurs à travers le monde. Selon des données de la West African competitiveness Program (Wacomp), l’Afrique de l’Ouest a atteint en 2018 55% de la production totale de manioc en Afrique estimée à 196 millions de tonnes, ce qui représente plus de 33% de la production mondiale.

Se basant sur ce potentiel, mais aussi sur l’explosion de la demande, des opportunités d’affaires que présente le manioc pour les producteurs, la FAO encourage l’intensification de la production. Elle préconise à cet effet un modèle de culture écosystémique intitulé « Produire plus avec moins ».  Il vise à pallier la monoculture intensive qui occasionne la recrudescence des nuisibles du manioc et l’appauvrissement des sols.

Cette approche « permet aux planteurs de manioc d’exploiter pleinement le potentiel du manioc », indique le guide. À travers ce document, la FAO entend aider les pays en développement à éviter les risques inhérents à l’intensification non durable tout en réalisant tout le potentiel du manioc en termes de rendements plus élevés, de lutte contre la pauvreté rurale et de contribution au développement économique national.

Méchac A.

Face à la croissance de la demande et des nombreuses opportunités économiques qu’offre le manioc, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture encourage sa production intensive suivant l’Approche « Produire plus avec moins ». C’est à travers le guide pour l’intensification durable de la production.

Le manioc, encore appelé « aliment des pauvres » fait partie des principales cultures vivrières en Afrique subsaharienne. Comestible des racines jusqu’aux feuilles, ce tubercule sert d’alimentation de base à plus de 800 millions de personnes et compte plus un demi-milliard de planteurs à travers le monde. Selon des données de la West African competitiveness Program (Wacomp), l’Afrique de l’Ouest a atteint en 2018 55% de la production totale de manioc en Afrique estimée à 196 millions de tonnes, ce qui représente plus de 33% de la production mondiale.

Se basant sur ce potentiel, mais aussi sur l’explosion de la demande, des opportunités d’affaires que présente le manioc pour les producteurs, la FAO encourage l’intensification de la production. Elle préconise à cet effet un modèle de culture écosystémique intitulé « Produire plus avec moins ».  Il vise à pallier la monoculture intensive qui occasionne la recrudescence des nuisibles du manioc et l’appauvrissement des sols.

Cette approche « permet aux planteurs de manioc d’exploiter pleinement le potentiel du manioc », indique le guide. À travers ce document, la FAO entend aider les pays en développement à éviter les risques inhérents à l’intensification non durable tout en réalisant tout le potentiel du manioc en termes de rendements plus élevés, de lutte contre la pauvreté rurale et de contribution au développement économique national.

Méchac A.

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